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Richard Ossoma-Lesmois Certes, dans la vie de tous les jours, l’amour ne fut jamais loin. Mais l’amour s’éloigna progressivement de Fanfan pour diverses raisons : il s’adonna trop à son travail. Technicien de surface, Fanfan s’accorda peu de temps à vivre ses envies, exprimer ses désirs. Assez naïf pour séparer l’hypocrisie générale des gens à assister aux souffrances de la solitude, au conformisme du traintrain du quotidien, de la nature intrinsèque conquérante d’un être humain dans son dessein de se compléter, de s’améliorer. François se cacha derrière les convenances, des propos mesurés tenus au cours des rencontres, dans d’espaces communs de vie, au travail.
 
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Richard Ossoma-Lesmois Autre raison à l’origine de sa solitude, Fanfan mit la barre très haut dans ses recherches amoureuses. Seules les blondes ou les brunes l’attirèrent. Il raya tous les autres types de femmes : les femmes métisses, les noires d’Afrique, les arabes. François demeura ancré dans ses traditions ancestrales. Oubliant que l’amour constitua un désordre terrible, bouscula les mœurs, brisa les certitudes, échoua aux rivages lointains.
 
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